Ce jour là j’étais dans mes pensées, à la caisse de la célèbre enseigne « Intermarché ». J’étais venu acheter quelques bières pour pallier la chaleur torride qui régnait ces derniers jours … Une occasion aussi de passer une soirée agréable avec ma femme une fois les enfants couchés ! Il faut dire que depuis que les enfants sont nés, nous n’avons plus beaucoup de temps ensemble et notre relation a évoluée. Nous nous satisfaisons au mieux aujourd’hui de ces petits moments à deux, une fois qu’ils sont tous au lit.
Donc ce jour là j’attendais à la caisse avec mon chariot et une présence me sortit de mes pérégrinations. Je ne savais pas encore ce que c’était mais une énergie me poussait à tourner la tête vers la caisse d’à côté.
Et là … Scotché … Une femme d’environ 35 ans, brune, avec de jolies formes se tenait un peu plus loin. Elle portait une robe courte et des bottes qui allongeaient ses jambes sublimes. Elle vidait son chariot, me laissant admirer ses magnifiques fesses moulées dans sa robe à chaque fois qu’elle se baissait pour sortir un article. Il faut dire que je suis complètement « gaga » quand je vois une jolie femme en robe avec des bottes. Mais là, j’étais un cran au-dessus. Cette femme avait quelque chose de magnétique, à la fois d’excitant et d’attirant … Elle avait quelques rondeurs qui ne manquait pas de rendre son corps encore plus désirable ! Je ne vous l’ai peut-être pas dit mais je n’aime pas les femmes trop maigres.
Je m’étais laissé absorbé et je ne m’étais pas rendu compte qu’elle s’était retournée et me voyait mater son corps sans pudeur … Ce n’est pourtant pas mon habitude … D’un naturel plutôt respectueux et discret, je fais plutôt attention à ne pas être repéré en envoyant plutôt des regards à la dérobée … ou alors je porte des lunettes de soleil pour me cacher ! Généralement, s’il m’arrive d’être à la limite d’être démasqué, je tourne la tête et ne m’aventure plus à envoyer des regards. Mais là, allez savoir pourquoi je décidais de relever les yeux et les plonger dans les siens sans détourner le regard. Elle sourit timidement et il m’a semblé la voir rougir un peu. Je continuais.
Je n’avais jamais fait ça avant ! Je ne sais ce qui m’a pris ce jour là mais j’étais bien décidé à exercer une forme de séduction sur elle au travers de mon regard. On dit que le regard est la fenêtre de l’âme, c’est dire à quel point on peut exprimer des choses avec nos yeux. Je ne sais précisément ce que mes yeux exprimaient à ce moment-là mais, bien qu’elle ne parvînt pas à soutenir mon regard, elle relevait régulièrement les yeux pour croiser les miens. J’avoue que cela commençait à me plaire et m’exciter. D’autant plus qu’il me semblait voir sa poitrine se soulever plus rapidement. Serait-elle, elle aussi touchée par cet échange ou est-ce simplement le fruit de mon imagination très abondante à cet instant ?
En tous cas, la caissière dû m’appeler trois fois pour que je comprenne que c’était mon tour. Je fus obligé de détourner le regard et me sentais totalement perdu. En effet, je suis marié, j’aime ma femme, et bien que nos parties de jambes en l’air ne soient plus ce qu’elles étaient, je ne l’ai jamais trompée et n’en n’ai aucunement l’intention. Je récupérais mes affaires, payais et jetais un dernier regard à mon inconnue … Elle avait disparu. Elle n’avait pas grand-chose comme courses et avait déjà payé.
C’est donc troublé et un peu déçu, il faut l’avouer, que je retournais à ma voiture. J’essayais de la trouver sur le parking, mais en vain. J’ai ramené mon chariot avec milles questions qui se bousculaient dans la tête. Quand je revins à la voiture je vis un petit mot sous l’essuie-glace. Mon cœur fit un bond : Serait-ce possible que ça soit ce à quoi je pense ? Le mot indiquait simplement un numéro de téléphone avec écrit : « pour prolonger cet échange de regards sur whatsapp ».
Waw ! Le choc ! Cela prenait d’un coup une tournure inattendue et j’avais une décision à prendre … Laisser tomber et me rappeler de ce merveilleux moment ou lui envoyer un message au risque que cela dérape et je ne trouvais pas ça très chouette par rapport à ma femme.
— — — — —
Je décidais de ne rien faire et garder ce bon souvenir. Durant trois jours je parvins à oublier cet instant mais, le quatrième jour, au moment de saisir mes clés dans ma poche, je ressortais involontairement le petit bout de papier.
J’étais seul ce jour-là et le souvenir de nos échanges au supermarché remonta d’un coup ! Je me sentais à nouveau sous le charme et un brin excité. Sans réfléchir, je pris mon téléphone et j’envoyais un message : « Je te vois ». Aucune référence au célèbre film Avatar, mais juste un renvoi à notre échange de regard.
Je restais à regarder mon téléphone quelques instant et la réponse ne se fit pas attendre. Je regardais mon téléphone immédiatement, après le bip m’indiquant la réception d’un message. Elle avait répondu : « Alors tu dois avoir une sacrée vue … Je pense à toi. ».
Rien de tel que ce genre de message pour enflammer instantanément tous les sens d’un homme. Où était-elle et que faisait elle pour que j’ai une sacrée vue ? Je répondais machinalement : « Je veux profiter de la vue alors ». Je reçu immédiatement en réponse un message accompagné d’une photo éphémère. Le message disait simplement « un indice » et la photo montrait sa main …
Non. Serait-elle en train de faire ce que je pense ? En pensant à moi ? Je demandais à voir où cette jolie main pouvait bien se poser mais je reçu comme réponse : « Une prochaine fois. Il fallait arriver plus tôt. »
Impossible d’apaiser mon esprit. J’étais en ébullition et très excité. Je décidais de me faire plaisir. Je me masturbais longuement en pensant à cette inconnue. J’imaginais son corps nu, ses doigts se promenant entre ses jambes et ses yeux …
Je restais de longues minutes pensif … Me demandant si je devais m’arrêter là ou la recontacter.
Je décidais d’envoyer un simple message disant : « J’ai beaucoup pensé à toi aussi. Merci ».
Aucune réponse … Je reprenais donc mes activités et les jours passèrent. Il m’arrivait de penser à elle mais les activités quotidiennes et le boulot me ramenaient à la réalité.
— — — — —
Un soir, alors que j’étais couché je reçus un message : « Tu dors ? ». Mon cœur tressaillit. Je regardais à côté, me femme semblait dormir profondément et n’avait rien entendu.
J’allais répondre « pas encore » mais je décidais de prendre le contrôle des choses et lui répondis : « quelle vue aurai-je si j’étais près de toi » ?
J’eus pour seule réponse : « Je sors de la douche … »
Elle avait l’art de cultiver le mystère pour susciter le désir …
« Allonge toi nue sur ton lit ». Je venais d’envoyer ce message … J’espérais qu’elle ne m’en voudrait pas de lui intimer cet ordre si direct.
« Et après ? » répondit-elle après avoir laissé passer quelques secondes.
« Je veux que tu caresses tes seins comme si j’étais là pour les caresser »
Mes pensées commençaient à s’embrouiller. Je l’imaginais nue sur son lit, laissant ses mains courir sur sa poitrine …
Un bip me sorti de mes pensées. Une photo !!!! Une nouvelle photo éphémère était arrivée. Je n’osais l’ouvrir comme si regarder cette photo m’engageait dans quelque chose d’irréversible.
Je cliquais du bout du pouce et découvrir un magnifique sein avec un téton bien dressé, des aréoles d’un brun clair mais bien marqué. J’étais sous le charme …
Le temps de me ressaisir je l’invitais à descendre ses mains sur son bas ventre et à me décrire ce qu’elle faisait. En guise de réponse je reçu un émoticône avec le rouge aux joues. J’aimais la savoir gênée et cela activait chez moi un instinct de prédateur. Je la voulais à ma merci, je voulais qu’elle aille plus loin, qu’elle le fasse pour moi, parce que je lui demande !
Je lui envoyais : « Si j’ai bien compris, il suffit de penser à moi ! Caresse-toi ! Et je veux une preuve !»
Quelques minutes passèrent à nouveaux. J’espérais au fond de moi ne pas avoir été trop loin et trop direct … Je bandais tellement fort que je décidais de sortir de la chambre pour aller dans le salon afin de me caresser sans risquer de réveiller ma femme.
Le temps que je rejoigne le salon, j’avais reçu une réponse : « C’est très agréable. ». Ne la laissant pas s’en tirer comme ça le sui répondit : « décris moi ce que tu fais et donne-moi une preuve ».
Je reçu un nouvel émoticône avec le rouge de timidité aux joues … puis un message : « Voici la preuve » ! Je m’attendais à une photo mais non !! Surprise ! C’était un enregistrement sonore.
Je m’empressais d’écouter et j’entendis son souffle court, sa respiration rapide …. Je n’aurais pas pensé qu’un simple fichier son me fasse cet effet !! Je saisi mon sexe dans ma main et commençait à me caresser.
« Mets un doigt au fond de ta chatte en pensant à moi ! » Encore une fois, je me surpris à être si direct moi qui aimait que les choses prennent leur temps, moi qui faisais tout le temps durer le plaisir…
Le même émoticône en guise de réponse ! suivi de ces deux mots : « c’est bon ! »
J’étais tellement excité, fou de désir, au bord de l’implosion ! Je répondais : « Je veux voir » !
Cette fois il n’y avait pas d’équivoque dans ce que j’attendais ! Je prenais de plus en plus de plaisir à être direct et directif !
A ce moment j’aurais voulu pouvoir être près d’elle, la regarder se caresser. Je lui aurais embrassé l’intérieur des cuisses jusqu’à venir déguster son nectar en lui assénant des coups de langues et des caresses buccales qui l’aurait emmené jusqu’à une jouissance sans retenue. Je l’aurais ensuite prise en levrette et imposé un rythme endiablé jusqu’à ce que nos corps fusionnent dans un râle aussi long que puissant … Enfin, nous nous serions écroulés dans les bras l’un de l’autre heureux et épuisés ayant pour seule attente que de remettre ça …
Bip … Une vidéo venait d’arriver.
Waw !
Je voyais enfin le fruit de tous mes fantasmes de ces derniers jours. Deux doigts glissaient à l’intérieur de sa chatte. Je pouvais voir son excitation tellement son sexe était trempé. J’entendais son souffle court et quelques gémissements. Je la voyais par moment caresser son clitoris … Ses jambes étaient écartées de manière si impudique que je pouvais voir son anus se contracter au rythme de son plaisir qui montait doucement.
Je saisi mon téléphone et écrivis : « glisse un doigt dans ton anus ! »
A la vue de son petit trou dansant au rythme de son plaisir impudique, je n’avais pas pu résister.
J’attendais haletant une nouvelle vidéo qui ne tarda pas à arriver.
Je lançais immédiatement la lecture et la découvris à 4 pattes, les fesses vers moi en train de caresser son petit trou. Quel beau spectacle ! Je me branlais de plus en plus fort et de plus en plus vite en regardant ce spectacle …
Puis … Un long gémissement, fort et puissant sorti du téléphone et je la vis se contracter et jouir de la plus belle des manières : un doigt dans son anus et deux doigts dans la chatte ! Au même moment je sentis la jouissance me saisir et je lâchais de longues giclées en même temps que je sentis des vagues d’un plaisir très intense.
J’envoyais un dernier message : « Merci ».
Après un bref nettoyage et le temps de redescendre je retournais me coucher me sentant heureux et coupable. Mais que c’était bon !
— — — — —
La semaine s’écoulait sans qu’il y ait de nouveau contact. J’avais, bien malgré moi, effacé les images et vidéos de nos échanges afin de ne pas laisser de traces. Mais dans mon esprit les images tournaient en boucle. C’était intense et fort agréable, même s’il manquait le contact physique, l’odeur de son parfum, la profondeur de son regard, le gout de son baiser …
Je me rendis compte d’un détail, je ne savais même pas son prénom ! Nous n’avions jamais pris la peine de nous présenter …
— — — — —
Ce matin j’avais rendez-vous avec un client au bar d’un hôtel de la grande ville proche de chez moi.
Nous devions discuter d’un contrat et j’avais choisi cet hôtel car il était assez classe et tranquille pour un rendez-vous d’affaire.
Lorsque j’arrivais mon client était déjà là. Nous nous assîmes dans le salon de la grande salle de réception avec un café. Après une heure de discussion, tout était bouclé. Une poignée de main et il partit.
J’étais en train de ramasser mes affaires lorsque je vis approcher ma jolie brune inconnue. Elle me sourit et vint s’assoir.
J’étais stupéfait ! Quelle coïncidence !
Nous prîmes un café sans un mot. L’intensité de nos regards en disait suffisamment …
Finalement, je lui posais la question qui me brulais les lèvres … « Que fais-tu ici ? »
Elle m’expliqua qu’elle était en séminaire durant deux semaines et qu’elle logeait dans cet hôtel mais qu’elle repartait demain.
J’en n’en revenais pas. Moi qui crois aux signes je ne pouvais que voir l’encouragement à aller plus loin. Je n’avais jamais trompé ma femme mais tout l’univers conspirait à ce que je passe un agréable moment avec ma belle inconnue.
Je me levais d’un bond et lui dit : « C’est donc le dernier jour pour que nous profitions. Quel est ton numéro de chambre ? ». En même temps que j’avais prononcé cette phrase j’avais mis une intensité particulière dans mon regard.
Elle répondit machinalement « 169 ».
« Encore un signe que nous devons nous donner du plaisir » lui dis-je …
Elle semblait hésiter. Je lui saisis la main et l’entrainais dans le couloir jusqu’à sa chambre. Elle chercha fébrilement la clé au fond de son sac et ouvrit la porte.
Son hésitation la rendait encore plus désirable.
Nous sommes entrés dans la chambre et j’ai refermé la porte derrière nous. La pièce était grande et lumineuse. Je reconnus quelques éléments que j’avais vu sur la vidéo. Je la revoyais à quatre pattes sur le grand lit qui se dressait devant nous.
En enlevant ma veste, je lui dis : « je ne connais même pas ton prénom ». Elle répondit du tac au tac : « Tu le sauras si tu es très gentil avec moi ». Il ne m’en fallait pas tant pour être à nouveau excité. Cette fille avait vraiment le don pour susciter le désir en quelques mots ! De plus elle alternait entre timidité et impudeur ce qui la rendait difficile à cerner, cultivant ainsi le mystère qui l’entourait …
Je l’attirai à moi et la pris dans mes bras pour l’embrasser. Ce baiser était doux et je sentais nos énergies se mélanger pour fusionner dans l’énergie du désir sexuel. Je m’employais à lui enlever sa robe tandis qu’elle enlevait ma chemise et mon pantalon. Accroupie devant moi en sous-vêtements, elle fit glisser mon boxer pour découvrir ma verge fièrement dressée et bien dure. Elle commença à la caresser doucement de haut en bas tout en caressant mes boules.
Je la regardais, hypnotisé quand elle leva le regard pour le plonger au fond de mes yeux et elle prit mon sexe en bouche. Divin … C’est le seul mot du dictionnaire qui peut tenter de décrire le plaisir que me procurait cette fellation. Elle y mettait tout son cœur, jouant par moment avec sa langue, aspirant, soufflant du bout des lèvres, effleurant, … branlant et suçant mon sexe ! Je sentais que quelques minutes de plus de ce traitement auraient raison de moi et il nous restait encore beaucoup de choses à découvrir. Je me reculais doucement et la redressais pour lui donner un nouveau baiser encore plus fougueux que le premier en guise de remerciement.
Elle était là, devant moi, en tanga et soutien-gorge en dentelle rouge. Elle semblait si fragile et si désirable. Un contraste qui m’a toujours faire fondre. Je la fis tourner sur elle-même pour l’admirer puis je libérais sa poitrine. Je retrouvais ces magnifiques seins bien galbés que j’avais pu voir sur la photo. Et ces tétons qui ne demandaient qu’à être mordillés …
Je me baissais, accroupis devant elle et je fis descendre son tanga le long de ses cuisses. Je profitais pour humer son odeur intime qui exprimait déjà une excitation certaine. Je lui déposais un baisé sur son sexe et lui dit à l’oreille : « Je voudrais te voir te caresser, mais en vrai cette fois ».
Elle recula d’un pas, s’allongea sur le lit sans perdre la connexion entre nos regards … et posa sa main entre ses jambes. Elle caressait son clitoris de manière tendre et douce. C’était beau à regarder … Je sentais qu’elle appréciait la force de mon regard sur ce moment intime. Son corps ondulait sous ses doigts, son souffle se faisait plus rapide, son regard devint plus trouble …
Je profitai de cet instant pour dire : « STOP ». Le ton était doux mais ferme ! Elle s’arrêta net, s’interrogeant sur ce qui venait de se passer.
Je la rassurer en lui disant : « C’est bien. Maintenant tu te caresseras quand je te le dirai ».
Je la sentais troublée mais cela n’avait en rien entaché l’excitation qui était la sienne.
J’approchais alors mon visage de son entre-jambe et humait son délicieux petit sexe. Je soufflais de l’air chaud sur sa fente … sa réaction était immédiate. Elle cherchait tout contact qui pourrait soulager son excitation. Je la voyais envoyer des coups de bassin en avant comme pour essayer de s’empaler sur quelque chose … Je tendis alors ma langue qui trouva furtivement son clitoris ! Elle frémit … je me rapprochais et donner des coups de langues, de manière contrôlée, afin de la laisser dans cette excitation extrême.
Elle était à l’agonie … haletante … impudique de désir …
Je lui proposais un 69 et je me retrouvais aussitôt avec sa vulve au-dessus de ma bouche. En jetant un regard sur le côté, quelque chose m’a intrigué. Je tendis le bras et mis la main dans son chevet et sorti un sextoy avec lequel elle devait passer ses soirées de solitude.
Je décidais de caresser l’entrée de son vagin à l’aide du sextoy pendant que je lui échais activement la chatte alternant les mouvements de langues. Elle me suçait avidement trahissant le plaisir qu’elle prenait elle-même. Je devais faire un effort pour ne pas venir de suite.
Je décidais d’abréger ce traitement en lui enfonçant d’un coup sec son gode au fond des ses entrailles tout et entrepris de rapides va et viens en continuant à la lécher. Elle se cambra instantanément en poussant un long cri de jouissance.
Elle s’écroula me laissant sous sa jolie chatte dégoulinant de plaisir.
Je lui laissais quelques instants pour retrouver ses esprits, ce qui me permettait à moi aussi de faire redescendre la pression pour pouvoir passer à la suite.
D’un bond, je la pris par la main, j’ouvris la fenêtre qui donnait su un grand parc et lui faisait prendre appuie à la fenêtre. Me positionnant derrière elle je commençais par glisser un doigt en elle, puis deux. J’aimais la voir regarder dans le parc, comme si de rien n’était pour ne pas se trahir, alors que mes doigts la fouillaient activement. Elle semblait aimer cela. Une exhibition interdite mélangée au plaisir intime d’une relation improbable dans sa chambre d’hôtel …
Je profitai de cet instant pour glisser ma queue en elle. Doucement mais surement, je commençais mon va et vient. Comme un signe de son appréciation, elle cambra un peu plus les fesses. Il ne m’en fallait pas plus pour intensifier le rythme de ce coït. Je lui imposais une cadence infernale. A tel point que rapidement elle commença à gémir tel un oiseau perché appelant son partenaire. Quelques personnes au loin se baladaient dans le parc … En même temps que je la pilonnais littéralement, je caressais ses hanches, ses fesses, …
Me revint alors à l’esprit la vidéo de ses caresses sur son petit trou ! Aussitôt je glissais un doigt dans sa raie et caressais son anus, jusqu’à y glisser le bout de mon doigt.
C’en était trop pour elle. Les gémissements de plus en plus sonores laissèrent place à des cris rauques de plaisir, démontrant à quelle point sa jouissance fut puissante.
Tremblante, haletante, épuisée … je la prenais dans mes bras pour la ramener sur le lit. Je caressais son corps le temps qu’elle reprenne son souffle … Mais je n’avais pas encore pris mon plaisir et je sentais qu’elle n’en avait pas fini non plus.
Une simple caresse entre ses cuisses provoqua un frémissement de plaisir, démontrant s’il le fallait que son désir était encore bien présent.
Je la positionnais à quatre pattes sur le lit et attrapant son sextoy je commençais à jouer avec son clitoris. En même temps je continuais à caresser son petit trou qui se faisait de plus en plus accueillant.
Je me redressais et insérais son jouet dans sa chatte. Elle gémit doucement. C’est quand je décida de la pénétrer en même temps que le jouet, en double pénétration vaginal, qu’elle se réveilla vraiment. Je glissais le long du jouet demandant à sa petite chatte une ouverture hors du commun. Je voyais que ce contact hors norme la comblait ! Elle gémissait de plus en plus fort sous le rythme effréné imposé par mon sexe et ce sexe articulé au bout de mes doigts. Elle se caressait le clitoris en même temps. Je lui caressais l’anus. On voyait qu’elle avait abandonné toute forme de pudeur, de retenue … Elle était là, sauvage, dégoulinante de plaisir à pousser de petits cris.
Je décidai de sortir de sa chatte pour pénétrer son petit trou afin de nous offrir un final digne des meilleurs feu d’artifices. Je posais mon gland sur son anus et poussais doucement. Lorsque je sentis que la dilation était suffisante et qu’elle n’avait pas de douleur j’accélérai la cadence.
Que c’était étroit ! Cela contrastait avec la sensation précédente d’une chatte grande ouverte. Ce chemin n’avait pas dû être souvent emprunté … Serais-je le premier ?
Je continuai mes vas et viens de plus en plus rapides. En même temps j’actionnais le gode dans sa chatte trempée et débordant de plaisir. Elle se caressais toujours. Des sons sortaient de sa bouche … Je ne sais dire ce que c’était. C’était bestial, animal … une expression sans filtre de son plaisir. Je sentais que je venais ! Je continuais à la pénétrer sauvagement jusqu’à ce que je vienne … avec de longues et puissantes giclées de perme au fond de ses entrailles. Elle hurla au même moment laissant s’exprimer certainement le plus bel orgasme que je n’ai jamais vu.
Nous avons savouré ce moment de longues minutes … et avons succombé à la fatigue …
— — — — —
Je me réveillais transpirant et coupable. Mais encore excité … Je regardais autour de moi incrédule. J’étais dans ma chambre et ma femme était à côté de moi, nue et me regardait avec un regard plein d’envie.
Etait-ce donc un rêve ? Sans doute le plus beau rêve que je n’ai jamais fait …
Mais maintenant que j’y pense … Cette femme, mon inconnue, ressemblait étrangement à ma femme …
Nous fîmes l’amour longuement ce matin-là … ma femme et moi …