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Le regard de mon inconnue

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Ce jour là j’étais dans mes pen­sées, à la caisse de la célèbre enseigne « Intermarché ». J’étais venu ache­ter quelques bières pour pal­lier la cha­leur tor­ride qui régnait ces der­niers jours … Une occa­sion aus­si de pas­ser une soi­rée agréable avec ma femme une fois les enfants cou­chés ! Il faut dire que depuis que les enfants sont nés, nous n’avons plus beau­coup de temps ensemble et notre rela­tion a évo­luée. Nous nous satis­fai­sons au mieux aujourd’hui de ces petits moments à deux, une fois qu’ils sont tous au lit.

Donc ce jour là j’attendais à la caisse avec mon cha­riot et une pré­sence me sor­tit de mes péré­gri­na­tions. Je ne savais pas encore ce que c’était mais une éner­gie me pous­sait à tour­ner la tête vers la caisse d’à côté.

Et là … Scotché … Une femme d’environ 35 ans, brune, avec de jolies formes se tenait un peu plus loin. Elle por­tait une robe courte et des bottes qui allon­geaient ses jambes sublimes. Elle vidait son cha­riot, me lais­sant admi­rer ses magni­fiques fesses mou­lées dans sa robe à chaque fois qu’elle se bais­sait pour sor­tir un article. Il faut dire que je suis com­plè­te­ment « gaga » quand je vois une jolie femme en robe avec des bottes. Mais là, j’étais un cran au-des­sus. Cette femme avait quelque chose de magné­tique, à la fois d’excitant et d’attirant … Elle avait quelques ron­deurs qui ne man­quait pas de rendre son corps encore plus dési­rable ! Je ne vous l’ai peut-être pas dit mais je n’aime pas les femmes trop maigres.

Je m’étais lais­sé absor­bé et je ne m’étais pas ren­du compte qu’elle s’était retour­née et me voyait mater son corps sans pudeur … Ce n’est pour­tant pas mon habi­tude … D’un natu­rel plu­tôt res­pec­tueux et dis­cret, je fais plu­tôt atten­tion à ne pas être repé­ré en envoyant plu­tôt des regards à la déro­bée … ou alors je porte des lunettes de soleil pour me cacher ! Généralement, s’il m’arrive d’être à la limite d’être démas­qué, je tourne la tête et ne m’aventure plus à envoyer des regards. Mais là, allez savoir pour­quoi je déci­dais de rele­ver les yeux et les plon­ger dans les siens sans détour­ner le regard. Elle sou­rit timi­de­ment et il m’a sem­blé la voir rou­gir un peu. Je conti­nuais.

Je n’avais jamais fait ça avant ! Je ne sais ce qui m’a pris ce jour là mais j’étais bien déci­dé à exer­cer une forme de séduc­tion sur elle au tra­vers de mon regard. On dit que le regard est la fenêtre de l’âme, c’est dire à quel point on peut expri­mer des choses avec nos yeux. Je ne sais pré­ci­sé­ment ce que mes yeux expri­maient à ce moment-là mais, bien qu’elle ne par­vînt pas à sou­te­nir mon regard, elle rele­vait régu­liè­re­ment les yeux pour croi­ser les miens. J’avoue que cela com­men­çait à me plaire et m’exciter. D’autant plus qu’il me sem­blait voir sa poi­trine se sou­le­ver plus rapi­de­ment. Serait-elle, elle aus­si tou­chée par cet échange ou est-ce sim­ple­ment le fruit de mon ima­gi­na­tion très abon­dante à cet ins­tant ?

En tous cas, la cais­sière dû m’appeler trois fois pour que je com­prenne que c’était mon tour. Je fus obli­gé de détour­ner le regard et me sen­tais tota­le­ment per­du. En effet, je suis marié, j’aime ma femme, et bien que nos par­ties de jambes en l’air ne soient plus ce qu’elles étaient, je ne l’ai jamais trom­pée et n’en n’ai aucu­ne­ment l’intention. Je récu­pé­rais mes affaires, payais et jetais un der­nier regard à mon incon­nue … Elle avait dis­pa­ru. Elle n’avait pas grand-chose comme courses et avait déjà payé.

C’est donc trou­blé et un peu déçu, il faut l’avouer, que je retour­nais à ma voi­ture. J’essayais de la trou­ver sur le par­king, mais en vain. J’ai rame­né mon cha­riot avec milles ques­tions qui se bous­cu­laient dans la tête. Quand je revins à la voi­ture je vis un petit mot sous l’essuie-glace. Mon cœur fit un bond : Serait-ce pos­sible que ça soit ce à quoi je pense ? Le mot indi­quait sim­ple­ment un numé­ro de télé­phone avec écrit : « pour pro­lon­ger cet échange de regards sur what­sapp ».

Waw ! Le choc ! Cela pre­nait d’un coup une tour­nure inat­ten­due et j’avais une déci­sion à prendre … Laisser tom­ber et me rap­pe­ler de ce mer­veilleux moment ou lui envoyer un mes­sage au risque que cela dérape et je ne trou­vais pas ça très chouette par rap­port à ma femme.

— — — — —

Je déci­dais de ne rien faire et gar­der ce bon sou­ve­nir. Durant trois jours je par­vins à oublier cet ins­tant mais, le qua­trième jour, au moment de sai­sir mes clés dans ma poche, je res­sor­tais invo­lon­tai­re­ment le petit bout de papier.

J’étais seul ce jour-là et le sou­ve­nir de nos échanges au super­mar­ché remon­ta d’un coup ! Je me sen­tais à nou­veau sous le charme et un brin exci­té. Sans réflé­chir, je pris mon télé­phone et j’envoyais un mes­sage : « Je te vois ». Aucune réfé­rence au célèbre film Avatar, mais juste un ren­voi à notre échange de regard.

Je res­tais à regar­der mon télé­phone quelques ins­tant et la réponse ne se fit pas attendre. Je regar­dais mon télé­phone immé­dia­te­ment, après le bip m’indiquant la récep­tion d’un mes­sage. Elle avait répon­du : « Alors tu dois avoir une sacrée vue … Je pense à toi. ».

Rien de tel que ce genre de mes­sage pour enflam­mer ins­tan­ta­né­ment tous les sens d’un homme. Où était-elle et que fai­sait elle pour que j’ai une sacrée vue ? Je répon­dais machi­na­le­ment : « Je veux pro­fi­ter de la vue alors ». Je reçu immé­dia­te­ment en réponse un mes­sage accom­pa­gné d’une pho­to éphé­mère. Le mes­sage disait sim­ple­ment « un indice » et la pho­to mon­trait sa main …

Non. Serait-elle en train de faire ce que je pense ? En pen­sant à moi ? Je deman­dais à voir où cette jolie main pou­vait bien se poser mais je reçu comme réponse : « Une pro­chaine fois. Il fal­lait arri­ver plus tôt. »

Impossible d’apaiser mon esprit. J’étais en ébul­li­tion et très exci­té. Je déci­dais de me faire plai­sir. Je me mas­tur­bais lon­gue­ment en pen­sant à cette incon­nue. J’imaginais son corps nu, ses doigts se pro­me­nant entre ses jambes et ses yeux …

Je res­tais de longues minutes pen­sif … Me deman­dant si je devais m’arrêter là ou la recon­tac­ter.

Je déci­dais d’envoyer un simple mes­sage disant : « J’ai beau­coup pen­sé à toi aus­si. Merci ».

Aucune réponse … Je repre­nais donc mes acti­vi­tés et les jours pas­sèrent. Il m’arrivait de pen­ser à elle mais les acti­vi­tés quo­ti­diennes et le bou­lot me rame­naient à la réa­li­té.

— — — — —

Un soir, alors que j’étais cou­ché je reçus un mes­sage : « Tu dors ? ». Mon cœur tres­saillit. Je regar­dais à côté, me femme sem­blait dor­mir pro­fon­dé­ment et n’avait rien enten­du.

J’allais répondre « pas encore » mais je déci­dais de prendre le contrôle des choses et lui répon­dis : « quelle vue aurai-je si j’étais près de toi » ?

J’eus pour seule réponse : « Je sors de la douche … »

Elle avait l’art de culti­ver le mys­tère pour sus­ci­ter le désir …

« Allonge toi nue sur ton lit ». Je venais d’envoyer ce mes­sage … J’espérais qu’elle ne m’en vou­drait pas de lui inti­mer cet ordre si direct.

« Et après ? » répon­dit-elle après avoir lais­sé pas­ser quelques secondes.

« Je veux que tu caresses tes seins comme si j’étais là pour les cares­ser »

Mes pen­sées com­men­çaient à s’embrouiller. Je l’imaginais nue sur son lit, lais­sant ses mains cou­rir sur sa poi­trine …

Un bip me sor­ti de mes pen­sées. Une pho­to !!!! Une nou­velle pho­to éphé­mère était arri­vée. Je n’osais l’ouvrir comme si regar­der cette pho­to m’engageait dans quelque chose d’irréversible.

Je cli­quais du bout du pouce et décou­vrir un magni­fique sein avec un téton bien dres­sé, des aréoles d’un brun clair mais bien mar­qué. J’étais sous le charme …

Le temps de me res­sai­sir je l’invitais à des­cendre ses mains sur son bas ventre et à me décrire ce qu’elle fai­sait. En guise de réponse je reçu un émo­ti­cône avec le rouge aux joues. J’aimais la savoir gênée et cela acti­vait chez moi un ins­tinct de pré­da­teur. Je la vou­lais à ma mer­ci, je vou­lais qu’elle aille plus loin, qu’elle le fasse pour moi, parce que je lui demande !

Je lui envoyais : « Si j’ai bien com­pris, il suf­fit de pen­ser à moi ! Caresse-toi ! Et je veux une preuve !»

Quelques minutes pas­sèrent à nou­veaux. J’espérais au fond de moi ne pas avoir été trop loin et trop direct … Je ban­dais tel­le­ment fort que je déci­dais de sor­tir de la chambre pour aller dans le salon afin de me cares­ser sans ris­quer de réveiller ma femme.

Le temps que je rejoigne le salon, j’avais reçu une réponse : « C’est très agréable. ». Ne la lais­sant pas s’en tirer comme ça le sui répon­dit : « décris moi ce que tu fais et donne-moi une preuve ».

Je reçu un nou­vel émo­ti­cône avec le rouge de timi­di­té aux joues … puis un mes­sage : « Voici la preuve » ! Je m’attendais à une pho­to mais non !! Surprise ! C’était un enre­gis­tre­ment sonore.

Je m’empressais d’écouter et j’entendis son souffle court, sa res­pi­ra­tion rapide …. Je n’aurais pas pen­sé qu’un simple fichier son me fasse cet effet !! Je sai­si mon sexe dans ma main et com­men­çait à me cares­ser.

« Mets un doigt au fond de ta chatte en pen­sant à moi ! » Encore une fois, je me sur­pris à être si direct moi qui aimait que les choses prennent leur temps, moi qui fai­sais tout le temps durer le plai­sir…

Le même émo­ti­cône en guise de réponse ! sui­vi de ces deux mots : « c’est bon ! »

J’étais tel­le­ment exci­té, fou de désir, au bord de l’implosion ! Je répon­dais : « Je veux voir » !

Cette fois il n’y avait pas d’équivoque dans ce que j’attendais ! Je pre­nais de plus en plus de plai­sir à être direct et direc­tif !

A ce moment j’aurais vou­lu pou­voir être près d’elle, la regar­der se cares­ser. Je lui aurais embras­sé l’intérieur des cuisses jusqu’à venir dégus­ter son nec­tar en lui assé­nant des coups de langues et des caresses buc­cales qui l’aurait emme­né jusqu’à une jouis­sance sans rete­nue. Je l’aurais ensuite prise en levrette et impo­sé un rythme endia­blé jusqu’à ce que nos corps fusionnent dans un râle aus­si long que puis­sant … Enfin, nous nous serions écrou­lés dans les bras l’un de l’autre heu­reux et épui­sés ayant pour seule attente que de remettre ça …

Bip … Une vidéo venait d’arriver.

Waw !

Je voyais enfin le fruit de tous mes fan­tasmes de ces der­niers jours. Deux doigts glis­saient à l’intérieur de sa chatte. Je pou­vais voir son exci­ta­tion tel­le­ment son sexe était trem­pé. J’entendais son souffle court et quelques gémis­se­ments. Je la voyais par moment cares­ser son cli­to­ris … Ses jambes étaient écar­tées de manière si impu­dique que je pou­vais voir son anus se contrac­ter au rythme de son plai­sir qui mon­tait dou­ce­ment.

Je sai­si mon télé­phone et écri­vis : « glisse un doigt dans ton anus ! »

A la vue de son petit trou dan­sant au rythme de son plai­sir impu­dique, je n’avais pas pu résis­ter.

J’attendais hale­tant une nou­velle vidéo qui ne tar­da pas à arri­ver.

Je lan­çais immé­dia­te­ment la lec­ture et la décou­vris à 4 pattes, les fesses vers moi en train de cares­ser son petit trou. Quel beau spec­tacle ! Je me bran­lais de plus en plus fort et de plus en plus vite en regar­dant ce spec­tacle …

Puis … Un long gémis­se­ment, fort et puis­sant sor­ti du télé­phone et je la vis se contrac­ter et jouir de la plus belle des manières : un doigt dans son anus et deux doigts dans la chatte ! Au même moment je sen­tis la jouis­sance me sai­sir et je lâchais de longues giclées en même temps que je sen­tis des vagues d’un plai­sir très intense.

J’envoyais un der­nier mes­sage : « Merci ».

Après un bref net­toyage et le temps de redes­cendre je retour­nais me cou­cher me sen­tant heu­reux et cou­pable. Mais que c’était bon !

— — — — —

La semaine s’écoulait sans qu’il y ait de nou­veau contact. J’avais, bien mal­gré moi, effa­cé les images et vidéos de nos échanges afin de ne pas lais­ser de traces. Mais dans mon esprit les images tour­naient en boucle. C’était intense et fort agréable, même s’il man­quait le contact phy­sique, l’odeur de son par­fum, la pro­fon­deur de son regard, le gout de son bai­ser …

Je me ren­dis compte d’un détail, je ne savais même pas son pré­nom ! Nous n’avions jamais pris la peine de nous pré­sen­ter …

— — — — —

Ce matin j’avais ren­dez-vous avec un client au bar d’un hôtel de la grande ville proche de chez moi.

Nous devions dis­cu­ter d’un contrat et j’avais choi­si cet hôtel car il était assez classe et tran­quille pour un ren­dez-vous d’affaire.

Lorsque j’arrivais mon client était déjà là. Nous nous assîmes dans le salon de la grande salle de récep­tion avec un café. Après une heure de dis­cus­sion, tout était bou­clé. Une poi­gnée de main et il par­tit.

J’étais en train de ramas­ser mes affaires lorsque je vis appro­cher ma jolie brune incon­nue. Elle me sou­rit et vint s’assoir.

J’étais stu­pé­fait ! Quelle coïn­ci­dence !

Nous prîmes un café sans un mot. L’intensité de nos regards en disait suf­fi­sam­ment …

Finalement, je lui posais la ques­tion qui me bru­lais les lèvres … « Que fais-tu ici ? »

Elle m’expliqua qu’elle était en sémi­naire durant deux semaines et qu’elle logeait dans cet hôtel mais qu’elle repar­tait demain.

J’en n’en reve­nais pas. Moi qui crois aux signes je ne pou­vais que voir l’encouragement à aller plus loin. Je n’avais jamais trom­pé ma femme mais tout l’univers conspi­rait à ce que je passe un agréable moment avec ma belle incon­nue.

Je me levais d’un bond et lui dit : « C’est donc le der­nier jour pour que nous pro­fi­tions. Quel est ton numé­ro de chambre ? ». En même temps que j’avais pro­non­cé cette phrase j’avais mis une inten­si­té par­ti­cu­lière dans mon regard.

Elle répon­dit machi­na­le­ment « 169 ».

« Encore un signe que nous devons nous don­ner du plai­sir » lui dis-je …

Elle sem­blait hési­ter. Je lui sai­sis la main et l’entrainais dans le cou­loir jusqu’à sa chambre. Elle cher­cha fébri­le­ment la clé au fond de son sac et ouvrit la porte.

Son hési­ta­tion la ren­dait encore plus dési­rable.

Nous sommes entrés dans la chambre et j’ai refer­mé la porte der­rière nous. La pièce était grande et lumi­neuse. Je recon­nus quelques élé­ments que j’avais vu sur la vidéo. Je la revoyais à quatre pattes sur le grand lit qui se dres­sait devant nous.

En enle­vant ma veste, je lui dis : « je ne connais même pas ton pré­nom ». Elle répon­dit du tac au tac : « Tu le sau­ras si tu es très gen­til avec moi ». Il ne m’en fal­lait pas tant pour être à nou­veau exci­té. Cette fille avait vrai­ment le don pour sus­ci­ter le désir en quelques mots ! De plus elle alter­nait entre timi­di­té et impu­deur ce qui la ren­dait dif­fi­cile à cer­ner, culti­vant ain­si le mys­tère qui l’entourait …

Je l’attirai à moi et la pris dans mes bras pour l’embrasser. Ce bai­ser était doux et je sen­tais nos éner­gies se mélan­ger pour fusion­ner dans l’énergie du désir sexuel. Je m’employais à lui enle­ver sa robe tan­dis qu’elle enle­vait ma che­mise et mon pan­ta­lon. Accroupie devant moi en sous-vête­ments, elle fit glis­ser mon boxer pour décou­vrir ma verge fiè­re­ment dres­sée et bien dure. Elle com­men­ça à la cares­ser dou­ce­ment de haut en bas tout en cares­sant mes boules.

Je la regar­dais, hyp­no­ti­sé quand elle leva le regard pour le plon­ger au fond de mes yeux et elle prit mon sexe en bouche. Divin … C’est le seul mot du dic­tion­naire qui peut ten­ter de décrire le plai­sir que me pro­cu­rait cette fel­la­tion. Elle y met­tait tout son cœur, jouant par moment avec sa langue, aspi­rant, souf­flant du bout des lèvres, effleu­rant, … bran­lant et suçant mon sexe ! Je sen­tais que quelques minutes de plus de ce trai­te­ment auraient rai­son de moi et il nous res­tait encore beau­coup de choses à décou­vrir. Je me recu­lais dou­ce­ment et la redres­sais pour lui don­ner un nou­veau bai­ser encore plus fou­gueux que le pre­mier en guise de remer­cie­ment.

Elle était là, devant moi, en tan­ga et sou­tien-gorge en den­telle rouge. Elle sem­blait si fra­gile et si dési­rable. Un contraste qui m’a tou­jours faire fondre. Je la fis tour­ner sur elle-même pour l’admirer puis je libé­rais sa poi­trine. Je retrou­vais ces magni­fiques seins bien gal­bés que j’avais pu voir sur la pho­to. Et ces tétons qui ne deman­daient qu’à être mor­dillés …

Je me bais­sais, accrou­pis devant elle et je fis des­cendre son tan­ga le long de ses cuisses. Je pro­fi­tais pour humer son odeur intime qui expri­mait déjà une exci­ta­tion cer­taine. Je lui dépo­sais un bai­sé sur son sexe et lui dit à l’oreille : « Je vou­drais te voir te cares­ser, mais en vrai cette fois ».

Elle recu­la d’un pas, s’allongea sur le lit sans perdre la connexion entre nos regards … et posa sa main entre ses jambes. Elle cares­sait son cli­to­ris de manière tendre et douce. C’était beau à regar­der … Je sen­tais qu’elle appré­ciait la force de mon regard sur ce moment intime. Son corps ondu­lait sous ses doigts, son souffle se fai­sait plus rapide, son regard devint plus trouble …

Je pro­fi­tai de cet ins­tant pour dire : « STOP ». Le ton était doux mais ferme ! Elle s’arrêta net, s’interrogeant sur ce qui venait de se pas­ser.

Je la ras­su­rer en lui disant : « C’est bien. Maintenant tu te cares­se­ras quand je te le dirai ».

Je la sen­tais trou­blée mais cela n’avait en rien enta­ché l’excitation qui était la sienne.

J’approchais alors mon visage de son entre-jambe et humait son déli­cieux petit sexe. Je souf­flais de l’air chaud sur sa fente … sa réac­tion était immé­diate. Elle cher­chait tout contact qui pour­rait sou­la­ger son exci­ta­tion. Je la voyais envoyer des coups de bas­sin en avant comme pour essayer de s’empaler sur quelque chose … Je ten­dis alors ma langue qui trou­va fur­ti­ve­ment son cli­to­ris ! Elle fré­mit … je me rap­pro­chais et don­ner des coups de langues, de manière contrô­lée, afin de la lais­ser dans cette exci­ta­tion extrême.

Elle était à l’agonie … hale­tante … impu­dique de désir …

Je lui pro­po­sais un 69 et je me retrou­vais aus­si­tôt avec sa vulve au-des­sus de ma bouche. En jetant un regard sur le côté, quelque chose m’a intri­gué. Je ten­dis le bras et mis la main dans son che­vet et sor­ti un sex­toy avec lequel elle devait pas­ser ses soi­rées de soli­tude.

Je déci­dais de cares­ser l’entrée de son vagin à l’aide du sex­toy pen­dant que je lui échais acti­ve­ment la chatte alter­nant les mou­ve­ments de langues. Elle me suçait avi­de­ment tra­his­sant le plai­sir qu’elle pre­nait elle-même. Je devais faire un effort pour ne pas venir de suite.

Je déci­dais d’abréger ce trai­te­ment en lui enfon­çant d’un coup sec son gode au fond des ses entrailles tout et entre­pris de rapides va et viens en conti­nuant à la lécher. Elle se cam­bra ins­tan­ta­né­ment en pous­sant un long cri de jouis­sance.

Elle s’écroula me lais­sant sous sa jolie chatte dégou­li­nant de plai­sir.

Je lui lais­sais quelques ins­tants pour retrou­ver ses esprits, ce qui me per­met­tait à moi aus­si de faire redes­cendre la pres­sion pour pou­voir pas­ser à la suite.

D’un bond, je la pris par la main, j’ouvris la fenêtre qui don­nait su un grand parc et lui fai­sait prendre appuie à la fenêtre. Me posi­tion­nant der­rière elle je com­men­çais par glis­ser un doigt en elle, puis deux. J’aimais la voir regar­der dans le parc, comme si de rien n’était pour ne pas se tra­hir, alors que mes doigts la fouillaient acti­ve­ment. Elle sem­blait aimer cela. Une exhi­bi­tion inter­dite mélan­gée au plai­sir intime d’une rela­tion impro­bable dans sa chambre d’hôtel …

Je pro­fi­tai de cet ins­tant pour glis­ser ma queue en elle. Doucement mais sur­ement, je com­men­çais mon va et vient. Comme un signe de son appré­cia­tion, elle cam­bra un peu plus les fesses. Il ne m’en fal­lait pas plus pour inten­si­fier le rythme de ce coït. Je lui impo­sais une cadence infer­nale. A tel point que rapi­de­ment elle com­men­ça à gémir tel un oiseau per­ché appe­lant son par­te­naire. Quelques per­sonnes au loin se bala­daient dans le parc … En même temps que je la pilon­nais lit­té­ra­le­ment, je cares­sais ses hanches, ses fesses, …

Me revint alors à l’esprit la vidéo de ses caresses sur son petit trou ! Aussitôt je glis­sais un doigt dans sa raie et cares­sais son anus, jusqu’à y glis­ser le bout de mon doigt.

C’en était trop pour elle. Les gémis­se­ments de plus en plus sonores lais­sèrent place à des cris rauques de plai­sir, démon­trant à quelle point sa jouis­sance fut puis­sante.

Tremblante, hale­tante, épui­sée … je la pre­nais dans mes bras pour la rame­ner sur le lit. Je cares­sais son corps le temps qu’elle reprenne son souffle … Mais je n’avais pas encore pris mon plai­sir et je sen­tais qu’elle n’en avait pas fini non plus.

Une simple caresse entre ses cuisses pro­vo­qua un fré­mis­se­ment de plai­sir, démon­trant s’il le fal­lait que son désir était encore bien pré­sent.

Je la posi­tion­nais à quatre pattes sur le lit et attra­pant son sex­toy je com­men­çais à jouer avec son cli­to­ris. En même temps je conti­nuais à cares­ser son petit trou qui se fai­sait de plus en plus accueillant.

Je me redres­sais et insé­rais son jouet dans sa chatte. Elle gémit dou­ce­ment. C’est quand je déci­da de la péné­trer en même temps que le jouet, en double péné­tra­tion vagi­nal, qu’elle se réveilla vrai­ment. Je glis­sais le long du jouet deman­dant à sa petite chatte une ouver­ture hors du com­mun. Je voyais que ce contact hors norme la com­blait ! Elle gémis­sait de plus en plus fort sous le rythme effré­né impo­sé par mon sexe et ce sexe arti­cu­lé au bout de mes doigts. Elle se cares­sait le cli­to­ris en même temps. Je lui cares­sais l’anus. On voyait qu’elle avait aban­don­né toute forme de pudeur, de rete­nue … Elle était là, sau­vage, dégou­li­nante de plai­sir à pous­ser de petits cris.

Je déci­dai de sor­tir de sa chatte pour péné­trer son petit trou afin de nous offrir un final digne des meilleurs feu d’artifices. Je posais mon gland sur son anus et pous­sais dou­ce­ment. Lorsque je sen­tis que la dila­tion était suf­fi­sante et qu’elle n’avait pas de dou­leur j’accélérai la cadence.

Que c’était étroit ! Cela contras­tait avec la sen­sa­tion pré­cé­dente d’une chatte grande ouverte. Ce che­min n’avait pas dû être sou­vent emprun­té … Serais-je le pre­mier ?

Je conti­nuai mes vas et viens de plus en plus rapides. En même temps j’actionnais le gode dans sa chatte trem­pée et débor­dant de plai­sir. Elle se cares­sais tou­jours. Des sons sor­taient de sa bouche … Je ne sais dire ce que c’était. C’était bes­tial, ani­mal … une expres­sion sans filtre de son plai­sir. Je sen­tais que je venais ! Je conti­nuais à la péné­trer sau­va­ge­ment jusqu’à ce que je vienne … avec de longues et puis­santes giclées de perme au fond de ses entrailles. Elle hur­la au même moment lais­sant s’exprimer cer­tai­ne­ment le plus bel orgasme que je n’ai jamais vu.

Nous avons savou­ré ce moment de longues minutes … et avons suc­com­bé à la fatigue …

— — — — —

Je me réveillais trans­pi­rant et cou­pable. Mais encore exci­té … Je regar­dais autour de moi incré­dule. J’étais dans ma chambre et ma femme était à côté de moi, nue et me regar­dait avec un regard plein d’envie.

Etait-ce donc un rêve ? Sans doute le plus beau rêve que je n’ai jamais fait …

Mais main­te­nant que j’y pense … Cette femme, mon incon­nue, res­sem­blait étran­ge­ment à ma femme …

Nous fîmes l’amour lon­gue­ment ce matin-là … ma femme et moi …

Auteur.e de l'histoire : Eros

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