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L’infirmière

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C’est le grand jour : je sors de la cli­nique après 15 jours d’hospitalisation cloué sur mon lit. Malheureusement le lieu change, mais pas ma motri­ci­té. Je dois patien­ter encore 15 jours pour com­men­cer la réédu­ca­tion pro­pre­ment dite à la sta­tion debout. Donc durant ces 2 semaines une infir­mière spé­cia­li­sée va venir chez moi pour me pro­di­guer des soins et m’aider dans la vie de tous les jours. Cette idée n’a pas plu à Christelle qui est jalouse, mais vu la situa­tion, elle n’a pas eu le choix mal­gré tous ses efforts pour trou­ver un infir­mier à la place d’une infir­mière.

Les ambu­lan­ciers viennent de finir de m’installer dans MON lit, chez moi. Ce dépla­ce­ment m’a vrai­ment fati­gué, et je décide de com­men­cer ma nuit à l’heure des poules.

Ça sonne, la clé tourne dans la ser­rure, j’entends des pas.

- « Monsieur Daumel, je suis l’infirmière. Puis-je ren­trer ?

Avant de répondre par l’affirmative, je remonte le drap jusqu’à mon nom­bril, car j’ai l’habitude de dor­mir tota­le­ment nu, été comme hiver.

- « Oui, entrez bon­jour. »

- « Bonjour Monsieur Daumel, je m’appelle Natacha, je suis votre infir­mière pour les 15 jours qui viennent. »

- « Dans ce cas là, on va se tutoyer si vous n’y voyait aucun incon­vé­nient. »

- « Non aucun, bien au contraire, mais c’est quoi votre pré­nom ? »

- « Je m’appelle Pierre, mais Christelle, ma copine, ne vous l’a pas dit ? »

- « Non, elle m’a juste lu l’ordonnance, m’a don­né la période sur laquelle les soins doivent por­ter et m’a deman­dé si j’étais libre. »

- « Ah ok, ça ne lui res­semble pas d’être aus­si froide. Mais j’ai ma petite idée sur la rai­son de cette froi­deur ».

Après ces pré­sen­ta­tions, elle m’explique com­ment vont se dérou­ler les 15 jours à venir. Et elle ajoute qu’il ne faut pas hési­ter à lui poser des ques­tions, car comme elle dit :

- « Quand le patient com­prend ce que l’on lui fait, il est à moi­tié gué­ri ».

Elle me donne l’emploi du temps des dif­fé­rentes séances. La séance du matin : petit déjeu­ner, la toi­lette, réédu­ca­tion douce sui­vie d’un repos.

La séance de midi : un bon repas pour reprendre des forces puis des exer­cices un peu plus axés sur la motri­ci­té et de nou­veau du repos avec un séance de relaxa­tion basée sur des exer­cices simples de yoga.

Puis on ter­mine la jour­née par le dîner et un mas­sage pour trou­ver le som­meil, pour qu’il soit le plus repo­sant pos­sible.

Aussitôt lu, aus­si­tôt appli­qué. Elle a pro­fi­té que j’étudiais le plan­ning pour me pré­pa­rer un petit déjeu­ner de spor­tif.

Pendant que je com­mence à man­ger, elle se dirige vers la fenêtre pour faire aérer la chambre. Et là, je tombe en plein dans le fan­tasme de l’infirmière puisque grâce au soleil levant je devine sa sil­houette par trans­pa­rence au tra­vers de sa blouse blanche.
Cela ne fait aucun doute : elle ne porte rien sous celle-ci, a l’exception d’un bré­si­lien. De plus, ses sabots blancs galbent ses petites jambes. C’est fou comme une blouse, une femme, un contre-jour peuvent créer une situa­tion éro­tique. Cependant, il y a un pro­blème et elle s’en aper­çoit.

- « Pierre il y a un pro­blème ?» me demande-t-elle.

Oui effec­ti­ve­ment, je fai­sais durer la der­nière bis­cotte, et elle pense avoir com­pris le pour­quoi.

- « Vous savez Pierre, ce n’est juste qu’une toi­lette, des corps nus j’en vois tout le temps, ça fait par­ti de mon tra­vail. Alors, si le fait de vous mettre nu devant moi pose pro­blème, je vous ras­sure il n’y a pas de quoi. »

Et elle ajoute avec un grand sou­rire :

- « De plus, je connais bien le fonc­tion­ne­ment du corps de l’homme, et je sais qu’il y a tous les matins la levée du dra­peau. Ne vous faites pas de sou­cis, je ne le pren­drai pas mal. »

C’est vrai qu’elle a dû assis­ter à plu­sieurs garde-à-vous, car der­rière son aspect des plus com­muns au pre­mier regard, elle a un je-ne-sais-quoi.
Je lui don­ne­rais un âge entre 30 – 35 ans, petite brune d’1m65 et une sil­houette à la « Beyonce ». Des formes où il faut comme il faut avec des petits défauts natu­rels qui viennent par­faire sa beau­té géné­rale.

Mais mal­gré tous ses atouts charmes et son expé­rience, elle n’a pas com­pris ce qui me pré­oc­cu­pait, bien au contraire, c’est même l’inverse. Depuis l’accident, je n’ai pas eu la joie d’avoir une érec­tion méca­nique ou pro­vo­quée.

Ce n’est pas faute d’avoir essayé, seul ou avec l’aide de Christelle. Des petits jeux, des caresses, des bai­sers entre deux tours d’infirmières, mais pour abou­tir tou­jours au même résul­tat : le calme plat.

- « Allez, je vous débar­rasse, et on com­mence la toi­lette ».

Et sur ces paroles, elle attrape le drap et dévoile ma nudi­té avec une carac­té­ris­tique toute nou­velle due à l’opération, une épi­la­tion par­faite du bas ventre.

Je crois avoir détec­té une réac­tion de sur­prise à la vue du peu de vigueur qui habite ma verge, sui­vie d’une expres­sion de décep­tion. Je décide de prendre mon cou­rage à deux mains et je lui explique mon pro­blème.

- « Euh Natacha, comme vous pou­vez le consta­ter, le pro­blème n’est pas de vous dévoi­ler ma nudi­té, mais c’est que … »
 — « J’ai com­pris Pierre suite à votre acci­dent vous avez des pro­blèmes d’érection. »
 — « Oui, c’est cela. »
 — « Mais je suis au cou­rant Pierre. Le plan­ning que je vous ai don­né tout à l’heure ne cor­res­pon­dez pas à vos jambes, mais bien à votre sexe »

Je suis sur le cul, ne com­prend rien. Je la regarde avec incom­pré­hen­sion. Mais petit à petit, je sai­sis mieux la der­nière dis­cus­sion sur mon manque de rigi­di­té avec Nathalie, qui m’a juré qu’elle ferait tout ce qui était en son pou­voir pour me redon­ner vie.

Le temps que je fasse le point sur la situa­tion, Natacha s’était rap­pro­chée de moi, elle penche sa tête vers mon oreille et me glisse :

- « J’ai remar­qué que tu as appré­cié de voir les rayons du soleil des­si­ner mon corps en ombre chi­noise ».

Et sur ce, elle se lance dans une série endia­blée de bai­sers, sur le visage, dans le cou. Ses mains par­courent mon torse, s’attardant sur mes seins. Elle les mor­dille, les suce, les embrasse. Elle est à pré­sent à cali­four­chon sur mon corps nu. Sa blouse courte remonte sur ses cuisses, lais­sant dévoi­ler le haut de ses bas blancs rete­nus par un porte-jar­re­telles de la même cou­leur. Ses caresses mettent mes sens à rude épreuve, je ne peux résis­ter plus long­temps à la décou­verte de son corps. Je glisse mes doigts dans sa che­ve­lure en direc­tion de sa nuque, je caresse ses épaules, puis mes mains se mettent en oppo­si­tion entre nos deux corps. J’attrape sa blouse et je fais sau­ter les pres­sions une par une dévoi­lant petit à petit son corps. Elle remonte légè­re­ment son corps ce qui posi­tionne sa poi­trine libre au niveau de ma bouche. Je com­prends sa demande, je place mes mains de chaque coté de ses seins, les dirige vers ma langue. Je prends un malin plai­sir à ne tou­cher que les mame­lons, pas les tétons, je les frôle, tourne autour sans vrai­ment les sai­sir. Des râles com­mencent à sor­tir de sa bouche, elle m’embrasse la tête. Soudainement j’attrape un téton avec mes lèvres et je pince dou­ce­ment le deuxième avec ma main. Sa réac­tion ne se fait pas attendre, elle se cambre. Je décide de conti­nuer l’exploration de ce corps en fai­sant défi­ler mes doigts tout le long de son dos en sui­vant sa colonne ver­té­brale pour arri­ver à ses dunes. Je caresse ses fesses avec le dos de ma main, tout en conti­nuant à titiller ses seins avec ma bouche. Elle se redresse, me regarde droit dans les yeux et me lance :

- « Tu t’es assez amu­sé ! A moi de reprendre les com­mandes main­te­nant. »

Malgré la situa­tion, je n’ai pas d’érection, l’angoisse monte en moi, je ne ban­de­rai plus jamais. Natacha a com­pris mon désar­roi et sans hési­ter elle me prend dans sa bouche.

C’est la pre­mière fois, que mon sexe se retrouve dans la bouche d’une femme et qu’il soit si peu fier. Elle com­mence un va-et-vient très lent et caresse en même temps mes bourses avec ses mains. Elle attrape dans sa sacoche une lotion lubri­fiante. Elle enduit mon sexe et com­mence à me mas­tur­ber tout en plon­geant son regard dans le mien. Tout à coup, une nou­velle sen­sa­tion m’envahit, elle l’a sen­ti elle aus­si et me reprend dans sa bouche pour déclen­cher une réac­tion en chaîne. Quelle sen­sa­tion, je me sens gran­dir en elle, mes angoisses s’évaporent, je suis de nou­veau un homme je le sais, elle le sent et elle en pro­fite pour s’amuser avec mon frein. Je me redresse tout en la gui­dant pour qu’elle s’allonge, car je veux goû­ter à son fruit défen­du. Mais, à cause de ma motri­ci­té réduite, je ne peux accom­pa­gner le mou­ve­ment jusqu’au bout. Elle a bien com­pris mon désir, mais aus­si mes limites, elle se redresse donc elle aus­si, me déplace vers le haut du lit, posi­tionne des cous­sins dans mon dos. Elle quitte son bré­si­lien mais garde sa blouse et ses bas. Elle s’assoie au niveau de mes genoux, prend mon sexe dans sa main, se rap­proche en gui­dant ma lance vers sa grotte. Je suis en elle, je res­sens sa cha­leur, et tout en m’embrassant, elle entoure mon bas­sin de ses jambes pour une péné­tra­tion totale. Les ondu­la­tions de bas­sin com­mencent et déclenchent des vagues de plai­sir pour nous deux. Je pro­fite de cette posi­tion pour pelo­ter ses fesses d’une main et je la plaque contre moi de l’autre. Dans cette confu­sion de gestes, de sens, l’orgasme arrive rapi­de­ment, il est violent, intense, mon épaule porte les marque de ses dents pour preuve.

Puis sou­dai­ne­ment la son­ne­rie de la porte d’entrée reten­tit, je me réveille, je regarde le réveil, il est 8h00, c’est l’heure de ma 1er séance de réédu­ca­tion. Ce n’était donc qu’un rêve, pré­mo­ni­toire j’espère …

Auteur.e de l'histoire : Erotikadi

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