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Soleil rouge

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Le soleil ne chauffe pas autant qu’au mois der­nier. Eva étale ses robes, tops, pan­ta­lons, des­sous et autres tex­tiles sur son lit et fait un état des lieux de sa garde-robe. L’automne est déjà bien avan­cé et les pre­mières gelées arrivent. Comme chaque année, elle se sent lasse rien qu’en pen­sant au froid qui va s’abattre sur son quo­ti­dien. Chaque année, on lui conseille des huiles essen­tielles, de l’homéopathie, des vita­mines, une cure de ceci, quelques gélules de cela. Pourquoi pas… mais ce dont Eva rêve plus que tout, c’est qu’on s’occupe d’elle. Epilation, manu­cure, pédi­cure, mas­sage, thé chaud, petits gâteaux, …

C’est déci­dé, elle cherche le pre­mier centre d’esthétique près de chez elle. Elle n’a pas envie de cou­rir des kilo­mètres. « CasaBeauté », « Nana Institut », « Racena », Rien de bien atti­rant. Eva a trou­vé un nom d’institut qui la satis­fait, « Soleil Rouge ». Du soleil, elle désire sa cha­leur, son bron­zage natu­rel com­mence à dis­pa­raître pour ne lais­ser qu’un hale léger.

Le ren­dez-vous est pris pour same­di pro­chain. L’hôtesse lui a pro­po­sé des soins sur mesures. Tous les kilo­mètres qu’elle fait dans la semaine lui mettent le dos en miettes.

Samedi, 8h25. Petit déjeu­ner léger, mais gas­tro­no­mique. C’est une jour­née pour se faire plai­sir, sans stress, sans urgence, sans bou­chon. Un seul et unique ren­dez-vous, celui du plai­sir de ses sens. Une douche rapide, pas de maquillage, pas de crème, pas de déo, elle n’a pas l’habitude, mais aujourd’hui elle ne veut plaire à per­sonne, se relaxer, c’est uni­que­ment ce qu’elle fera.

9h30. L’hôtesse l’accueille avec un sou­rire cha­leu­reux.

- Bonjour, madame, je vais vous débar­ras­ser de votre man­teau. Ensuite, nous détaille­rons votre jour­née de soins. »

Eva se laisse faire. Elle tend sa dou­doune à la jeune femme métisse, qui dis­pa­raît dans un ves­tiaire, puis réap­pa­raît avec un cata­logue à la main.

- Avez-vous déjà une idée des soins que vous dési­rez ? »

- Epilation … com­plète, soins des mains et des pieds. Quels mas­sages me pro­po­sez-vous ? »

- Massage Californien, basé sur un effleu­rage de la peau, lent et sen­suel, avec de légère pres­sion. Massage Relaxant, c’est une méthode très natu­relle qui favo­rise une san­té har­mo­nieuse. Le Shiatsu vise à rééqui­li­brer les éner­gies. » Elle patiente quelques secondes en regar­dant la moue d’Eva. Elle ne semble pas très enthou­siaste pour ce genre de mas­sage ‘léger’. « Nous pou­vons aus­si cibler les points à mas­ser, visage, pieds, mains. »

- J’ai envie de mas­sage puis­sant et appuyé. Un mas­sage qui éveille­ra mes sens, après lequel je par­ti­rai en m’en sou­ve­nant comme d’un mas­sage excep­tion­nel. Vous voyez ce que je veux dire ? »

La jeune femme regar­da Eva avec éton­ne­ment, puis lui sou­rit comme si elle venait de com­prendre ce qu’Eva lui deman­dait. Elle lui deman­da de patien­ter dans la salle d’attente, pen­dant qu’elle se ren­seigne sur les soins dis­po­nibles.

Eva se dirige vers la salle d’attente. Une salle chaude, le décor est repo­sant, des tasses et plu­sieurs théières sont posées sur une petite com­mode. Elle se sert un thé au jas­min. La cha­leur lui réchauffe les lèvres. L’hôtesse revient vers Eva.

- Nous pou­vons avoir un mas­sage unique, fait par un col­la­bo­ra­teur, pour 14h30. Qu’en pen­sez-vous ? »

- Ce matin nous ferions les soins et ceci cette après-midi ? Cela me convient. Combien de temps le mas­sage ? »

- Combien vous dési­rez ? Nous vous conseillons de … Je vous pro­pose de voir direc­te­ment avec votre mas­seur.

- Parfait ! Je ne pou­vais rêver mieux. Pour le repas de déjeu­ner, vous me recom­man­der quel res­tau­rant ? »

- Nous avons tout sur place. Nous dres­se­rons un buf­fet varié dans la tisa­nière. »

Eva se sen­ti dans son élé­ment.

Elle se mit en maillot de bain. La tem­pé­ra­ture dans l’institut était agréable, envi­ron 35°C. C’était un véri­table cocon de cha­leur, doux, humide. Les lumières, adap­tées à l’ambiance, éclairent dans dif­fé­rents colo­ris, sui­vant les endroits. La tisa­nière et la salle d’attente étaient dans les tons verts d’eau, les cou­loirs tami­sés d’oranger.

L’épilation com­men­ça dans une salle claire, sen­tant bon l’encens et le pin. Elle com­men­çait à se détendre. La souf­france res­sen­tie était très vite rem­pla­cée par la joie de se sen­tir belle. Après l’épilation, l’esthéticienne pas­sa une lotion rafraî­chis­sante sur ses jambes en la cares­sant dou­ce­ment. On lui ser­vi un thé aux lit­chis et aux roses. Ensuite, l’esthéticienne lui fit la manu­cure et enchaî­na avec la pédi­cure. La détente était com­plète. La femme qui pra­ti­quait les soins était douce, déli­cate, atten­tive, per­fec­tion­niste.

11h30. Eva n’avait pas vu le temps s’écouler. Elle se sen­tait légère, réchauf­fée. Elle se diri­gea vers la salle d’attente. Un buf­fet avait été ins­tal­lé dans la tisa­nière. Des soupes, des salades, des mets légers et déli­cats dif­fu­saient des odeurs allé­chantes. Eva se ser­vit en petites quan­ti­tés.

12h15. Eva s’allongea sur un tran­sat dans le sola­rium. Encore cette cha­leur, plus sèche, mais tout aus­si béné­fique. Elle s’endormit pai­si­ble­ment, non pas qu’elle s’était épui­sée ce matin, mais la ten­sion accu­mu­lée pen­dant ses semaines de tra­vail s’évacuait. Elle se réveilla vers 14h00. Encore une demi-heure. Elle avait envie de sucré. Un retour au buf­fet. Les des­serts étaient tou­jours éta­lés et les infu­sions avaient été remises à leur place. Elle goû­ta un moel­leux au cho­co­lat et au gin­gembre et l’accompagna d’une infu­sion au cara­mel.

14h30. Un superbe jeune homme, brun, mus­clé, 1m90 (envi­ron), s’approcha d’Eva. Il l’appela par son pré­nom. Elle fut sur­prise mais cela la mit tout de suite en confiance. Il lui deman­da de la suivre, si elle avait fini son repas. Elle regar­da son assiette et sa tasse vide, lui sou­rit et lui confir­ma qu’elle avait ter­mi­né de man­ger. Il lui ouvrit la porte d’une salle.

Elle était spa­cieuse, la lumière était rouge, mais faible. Une grande table base trô­nait au milieu de la pièce. De l’encens brû­lait len­te­ment. Eva hési­ta lorsque le jeune homme fer­ma la porte.

- Mettez vous à l’aise. Comment vou­lez-vous être mas­sée ? Certaines femmes pré­fèrent res­ter en maillot de bain, avec ou sans sou­tien-gorge, mais je pré­fère tou­cher les femmes nues, évi­dem­ment. »

Eva rou­git. Heureusement que la lumière har­mo­ni­sa les tons. Elle se dévê­tit, com­plè­te­ment.

L’homme fit un petit signe de la tête, qui vou­lait dire « Quelle belle femme ! ».

Eva s’allongea sur le ventre, la tête tour­née vers un tableau d’une femme nue, épa­nouie qui buvait de l’eau d’une fon­taine. Elle enten­dit le mas­seur se frot­ter les mains avec de l’huile de mas­sage. Tout en lui posant ses mains chaudes sur sa nuque, il lui dit en mur­mu­rant :

« Je m’appelle Sam. Je n’ai pas d’instruction, dites-moi ce que vous dési­rez. Si ce que je fais vous déplait, dites-le aus­si. Je ne m’arrêterai que lorsque vous me l’indiquerez. »

Elle fit un petit signe de la tête.

Il com­men­ça par lui mas­ser le cou et les épaules. Une pres­sion appuyée. Ses mains glis­saient sous l’huile. Il en rajou­ta encore un peu et des­cen­dit le long de la colonne ver­té­brale. Ses doigts rou­laient, les paumes de ses mains pres­saient sa peau. Une ambiance d’électrique com­men­çait à gran­dir. Eva res­pi­rait plus vite. A ce moment, Sam relâ­cha son mas­sage, il ne lui fai­sait plus que des caresses légères. Sa peau fré­mit.

La voix grave de Sam rom­pit le silence, tout en conti­nuant le va-et-vient de ses mains :

- Vous avez deman­dé de l’exceptionnel ? »

Eva se contrac­ta, mais sous une pres­sion des mains chaudes de l’homme, elle accep­ta la situa­tion. Elle avait deman­dé un mas­sage dont elle se sou­vien­drait toute sa vie. Sam com­men­ça à se dévê­tir. Son cœur s’accéléra. Elle assu­mait ses dési­rs. Elle ne le voyait pas mais enten­dit le frois­se­ment de sa che­mise qu’il posa ensuite sur une chaise.

Les contacts se fai­saient à nou­veau plus sou­te­nus, uti­li­sait main­te­nant ses avants bras. Il des­cen­dait sur ses propres bras et remon­tait, puis redes­cen­dait vers ses reins. Parfois, elle sen­tait des contacts avec sa chair. Elle ne savait pas quelle était la par­tie de son corps qui entrait en contact avec elle, mais elle s’amusait, au fur et à mesure, à pen­ser que c’était ses pec­to­raux, son ventre, ses cuisses.

Il pas­sa ses mains sur le côté de ses hanches. Par reflex, elle cam­bra insen­si­ble­ment. Il en pro­fi­ta pour pas­ser les mains en des­sous. Elle fris­son­na et gémit dis­crè­te­ment.

Il revient lui mas­ser les fesses. Ses pouces rou­laient jusque dans le creux de ses reins.

Il repas­sa ses doigts sur ses fesses, puis les glis­sa vers son entre­jambe. Elle écar­ta ses jambes len­te­ment. Elle lui don­nait l’autorisation de conti­nuer dans cette voie. Il en pro­fi­ta pour cares­ser sa bou­ton­nière, puis ses lèvres, effleu­rer son bou­ton d’or, puis revient mas­ser ses cuisses. Il recom­men­ça encore une fois. Elle se cam­bra encore un peu plus. Il négli­gea fina­le­ment ses caresses éro­tiques pour conti­nuer à mas­ser ses cuisses, ses mol­lets, puis ses pieds. Elle fut déçut un moment, mais son exci­ta­tion, redes­cen­due, recom­men­ça lorsqu’il lui tou­cha les pieds. Quelle détente…

Après le deuxième pied, il remon­ta à nou­veau le long de ses jambes. Elle était enduite d’huile sur tout le corps. Il cares­sa à nou­veau son entre­jambe. Elle fris­son­na. Il glis­sa une main sous sa hanche droite, comme un signe pour qu’elle se retourne.

Elle pivo­ta gra­cieu­se­ment, tout en décou­vrant le male nu. Un bel homme. Elle eu une envie sou­daine de le tou­cher, le lécher. Elle ten­dit la main pour le frô­ler. Sa main tou­cha son sein gauche, qui se rétrac­ta. Il sou­rit et lui posa sa main chaude sur le ventre comme pour dire « Chaque chose en son temps ».

Il lui mas­sa le ventre et la poi­trine avec une grande déli­ca­tesse. Il malaxait ses seins len­te­ment, puis avec ses index, titilla ses tétons. Elle écar­ta légè­re­ment les jambes. Et pen­dant qu’il conti­nuait à lui mas­ser la poi­trine d’une main, l’autre des­cen­dit dou­ce­ment pour la faire jouir.

Ses doigts cir­cu­laient par­fai­te­ment. Il lui mas­sa l’aine, et lais­sa encore une fois ses doigts atteindre ses lèvres. Il pres­sa sa vulve, relâ­cha, pres­sa, relâ­cha, encore et encore, de plus en plus vite. Elle écar­ta encore un peu plus ses cuisses. Il mas­sait main­te­nant toutes ses par­ties intimes, et son exci­ta­tion gran­dis­sait. Il insé­ra déli­ca­te­ment un doigt dans son vagin, puis deux, les reti­ra. Tous ces mou­ve­ments lui don­naient le tour­nis. Elle atteint l’orgasme et il reprit pai­si­ble­ment le mas­sage de son ventre pen­dant que de petits spasmes la par­cou­raient.

L’après-midi conti­nua, tou­jours dans cette atmo­sphère ver­millon. Elle eu plu­sieurs jouis­sances sur cette table de mas­sage.

Lorsque le Soleil rime avec la cha­leur des mains de Sam et que le Rouge rime avec la cou­leur de cette chambre du plai­sir, l’après-midi d’Eva rime alors avec la satis­fac­tion de ses sens.

Auteur.e de l'histoire : Erotikadi

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